Vengeance posthume des vaches
Début août, une odeur de cadavre s’est répandue dans le voisinage. C’était une vache en stade avancé de décomposition. Nous fûmes forcés de verrouiller nos fenêtres, y compris la nuit, jusqu’à fin août.
A peine les effluves disparues, voilà que dès la première quinzaine de septembre, la puanteur rapplique de plus belle. Une autre vache en décomposition trône dans un coin du stade, les quatre fers en l’air.
C’est surtout la nuit et en début de matinée que les relents sont insupportables.